Francine Larivée | CV - curriculum abrégé

Les œuvres de Francine Larivée ont été fréquemment présentées lors d'expositions et d'interventions en solo.
Parmi celles-ci, mentionnons :

Petites folies d'importance à Plein sud (Longueuil, 2005);
Absorption, une intervention permanente dans le Parc écologique de l'Université de Moncton, à l'automne 2004 (Moncton, Nouveau-Brunswick);
Après le passage des trains, un geste de land art et de phytoremédiation de 2,8 acres, réalisé au Canal Lachine en 2002 en collaboration avec les Services des Jardins et Parcs, des Activités culturelles et du Centre d'Excellence en Environnement du Laboratoire la Ville de Montréal (2002);
ÊTRE, au Centre d'artistes GRAVE (Victoriaville, 2000);
Un paysage dans le paysage. Le paysage comme tableau vivant, œuvre permanente in situ, Les Jardins de Métis (Grand Métis, 1996);
Ici, maintenant, là, à la Galerie Yves LeRoux (Montréal, 1996);
Le paysage comme tableau vivant, rétrospective au Musée régional de Rimouski (Rimouski, 1994);
Sources, au Centre d'exposition CIRCA (Montréal, 1991);
L'enfante, au Centre d'exposition Expression (Saint-Hyacinthe, 1990);
Mémoire du regard (1989) et Terre, ombre et lumière (1986) à la Galerie Aubes 3935 (Montréal);
L'enfante à la Galerie Horace (Sherbrooke, 1989);
La chambre nuptiale, présentée au Musée d'art contemporain de Montréal (Montréal, 1982), au Pavillon du Québec à Terre des Hommes (Montréal, 1977), au Carrefour Laval (Laval, 1976) ainsi qu'au Complexe Desjardins de Montréal (Montréal, 1976).

Elle a été invitée à participer à de nombreuses expositions de groupe, notamment :

L'art public à Montréal. À propos de quelques œuvres extérieures » chez CIRCA, avec les maquettes de La réparation, monument dédié aux victimes de génocide situé au Parc Marcelin-Wilson, et celles de La poussée vers le haut, œuvre publique située au Palais des congrès de Montréal (Montréal, 2007);
« Les paysagistes », avec Paysage nomade 1 : partir, une exposition présentée dans sept maisons de la culture de la Ville de Montréal (2007);
« La sculpture et le vent. Femmes sculpteures au Québec » avec Les camouflages du neuf chez CIRCA, (Montréal, 2004);
« De l'invisible à l'imperceptible. Une collection à découvrir » avec Transparente légèreté. Dérive des courants, au Musée régional de Rimouski (Rimouski, 2004);
« Sémaphores » avec l'intervention in situ Interférences ondulatoires et le montage photographique Ce qui s'offre à la vue, événement d'art actuel, Centre d'artistes Regart (Lévis, 2002);
« Une traversée de l'imaginaire » avec l'installation Les camouflages du neuf à la Maison de la culture Marie-Uguay (Montréal, 2002);
« ARTEFACT 2001 — sculptures urbaines » avec Ophélie, un jardin flottant, canal Lachine (Montréal, 2001);
« Avant propos sur l'utopie » avec maquette, plans et dessins de l'intervention Après le passage des trains, à la Maison de la culture Marie Uguay (Montréal, 2001);
« Visions totémiques » avec La mue, chez CIRCA (Montréal, 2002), à la Maison de la culture Ahuntsic-Cartierville (2002), à la Galerie Port-Maurice (Montréal, 2001-2002), à la Maison de la culture Frontenac (Montréal, 2001), à la Galerie d'art Stewart Hall (Montréal, 2001), au Centre culturel de Verdun (Montréal, 2001), au Centre culturel de Dorval (Montréal, 2001), au Pavillon de l'Entrepôt (Montréal, 2001), et à la Galerie d'art d'Outremont (Montréal);
« PASSART 2000 » avec Où es-tu? (Rouyn-Noranda, 2000);
« Déclics. Art et Société » au Musée de la civilisation, avec photos et textes de La chambre nuptiale (Québec, 1999);
« Déclics. Art et Société - Le Québec des années 60 et 70 » au Musée d'art contemporain, avec le film Le cœur du frère André (Montréal, 1999);
« AMOUR/HORREUR » avec l'installation ÊTRE, à la Galerie La Centrale (Montréal, 1999);
« La forêt s'expose », avec l'installation Transparente légèreté. Dérive des courants, à la Maison Théâtre (Montréal, 1998);
« L'art inquiet. Motifs d'engagement » avec l'installation Transparente légèreté. Dérive des courants, à la Galerie UQAM (Montréal, 1998);
« Topographies latérales » avec l'installation Ce qui s'offre à la vue, à la Galerie Occurrence (Montréal, 1997);
« Espace décuplé » avec Propos et gestes dans le paysage. Traces et signes : la nature d'un site, à la Galerie Samuel Lalouz (Montréal, 1997-1998) dans le cadre des dix ans de la revue Espace;
« Au nom de la terre » avec l'installation Unité des soins intensifs. Intensive Care Unit au Centre national d'exposition, exposition du centre d'artistes Langage plus (Jonquière, 1997);
« Points de suspension » avec Partir du vide au Centre d'exposition CIRCA (Montréal, 1997);
« Présences » avec Mémoire du regard à la Galerie de l'UQÀM (Montréal, 1997);
« Seconde nature » avec Terre, ombre et lumière III au Centre d'art contemporain (Baie-Saint-Paul, 1995);
« Différentes natures » avec la maquette Mousses en situation. Test 1 au Centre d'art de la Vicereina (Barcelone, 1994) et à la Galerie de la Défense (Paris, 1993);
« Espaces privés » avec l'œuvre in situ Résonances souterraines, au Centre d'art contemporain Hamel-Bruneau (Québec, 1993);
« Terra incognita » avec Terre, ombre et lumière III, à la Galerie du Cégep Édouard-Montpetit (Longueuil, 1992);
« Terre encore vivante » avec Terre, ombre et lumière I, à la Galerie Trompe-l'œil (Québec, 1992);
« Les œuvres de la collection du Musée national du Québec » au Musée national du Québec (Québec, 1992) avec l'installation L'enfante;
« À force de terre » au Centre d'exposition CIRCA (Montréal, 1991);
« SAVOIR-VIVRE, SAVOIR-FAIRE, SAVOIR-ÊTRE » avec l'installation L'offrande, au Centre International d'Art Contemporain (Montréal, 1990);
« Espèces d'espace » avec les installations L'enfante à la Galerie UQÀM et Paysage en suspension dans le bassin de l'atrium Judith-Jasmin, UQÀM (Montréal, 1989);
« Paysage » avec la série de photos Sucs d'émeraude. Embruns entre vides et pleins au Center Eye Gallery (Calgary, 1988), à la Contemporary Art Gallery (Vancouver, 1988) et chez YYZ Gallery (Toronto, 1988);
« Elementa natur&ealig; » avec l'installation Jardin de vie. Vision du regard aigu au Musée d'art contemporain de Montréal (Montréal, 1987);
« FEMMES-FORCES » avec Terre ombre et lumière III au Musée national des beaux-arts du Québec (Québec, 1987);
« L'eau et le vent » avec Mousses en situation. Test 3 dans les silos du Vieux-Port, événement Québec 1534-1984, CIAC (Québec, 1984);
« ACTUELLES 1 » avec Mousses en situation. Test 1 à la Place Ville-Marie (Montréal, 1983) :
« Montréal s'expose » avec Labyrinthe au Musée des beaux-arts de Montréal (Montréal, 1972).

Les œuvres de Francine Larivée ont été exposées dans les foires internationales de Paris, Bâle, Chicago, Los Angeles et Nice par la Galerie Aubes 3935. Plusieurs catalogues publiés à l'occasion d'expositions commentent son œuvre.

Des réalisations publiques ponctuent sa carrière, dont :

Cinq gestes, un parcours à la biennale d'art contemporain « Les Environnementales » 2006, à Jouy-en-Josas (France, 2006);
La poussée vers le haut au Palais des congrès de Montréal (2005);
Aster Linariifolius au Centre Hospitalier Régional de Trois-Rivières (2005);
Jardin d'une fleur perfectionnée à l'École secondaire Antoine-de-Saint-Exupéry (2003);
Tulipa au Musée de la nature et des sciences (Sherbrooke, 2003);
Lieu du milieu au Centre de formation professionnelle des Sommets (Sainte-Agathe, 2002);
Hybride fleur rouge au Centre d'hébergement d'Asbestos (Asbestos, 2002);
Labyrinthe à l'École secondaire Saint-Lazare (Saint-Lazare, 2002);
Ophélie au Canal Lachine, événement « Artefact 1 » (Montréal, 2001);
Vue du fleuve, la côte au Centre Est-Nord-Est, dans le cadre de l'événement « La Ruche » (Saint-Jean-Port-Joli, 2000);
Où es-tu?, événement « PassArt », (Rouyn-Noranda, 2000);
Le jardin secret aux Archives nationales du Québec, centre de Montréal (Montréal, 1999);
L'herbier au Centre d'accueil Chevalier de Lévis (Longueuil, 1999);
La réparation au parc Marcellin-Wilson, monument dédié à la mémoire des victimes de génocide (Montréal, 1998);
Résonances souterraines 2, Symposium de sculpture « Émergence » (Québec, 1997);
Mitosis à l'École Armand-Frappier (Montérégie, 1997);
Jardin de vie . Vision du regard aigu au Jardin Lionel-Séguin de l'institut de Technologies Agricoles (Saint-Hyacinthe, 1996);
Un paysage dans le paysage. Le paysage comme tableau vivant, intervention permanente dans les Jardins de Métis (Grand-Métis, 1996);
Quel regard se pose dans le paysage?, sept interventions in situ dans le parc Marie-Victorin, Symposium International de Sculpture « Terre gravide », Matière à musée (Longueuil, 1995);
Une vasque au jardin au Cégep Marie-Victorin (Montréal, 1995);
Fleur solaire. Efflorescence à l'École des Hautes Études Commerciales, Université de Montréal (Montréal, 1995);
Portail à la rencontre des uns à l'École secondaire Sainte-Julienne (Sainte-Julienne, 1994);
L'arbre-échelle à l'École primaire Rivière-des-Prairies (Montréal, 1994);
Une pause à la rencontre des courants au siège social d'Hydro-Québec (Saint-Laurent, 1993).

Francine Larivée est récipiendaire du Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton 2002, accordé par le Conseil des arts du Canada. Elle a obtenu des bourses, notamment celles du Conseil des Arts du Canada, du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Ministère des Affaires culturelles et de plusieurs autres ministères provinciaux et fédéraux pour la réalisation et la circulation de l'œuvre La Chambre nuptiale.

Ses œuvres figurent dans des collections privées au Canada et aux États-Unis ainsi que dans des collections publiques, dont celles du Musée des Beaux-arts du Canada, de la Banque d'œuvres d'art du Canada, du Musée d'art contemporain de Montréal, de la Banque Nationale du Canada, du Musée régional de Rimouski, du musée de la Pulperie de Chicoutimi, de la Banque d'œuvres d'art du Musée national des beaux-arts du Québec et du Centre d'exposition Expression de St-Hyacinthe, de la collection d'art public de la Ville de Montréal et de plusieurs ministères québécois dans le cadre de commandes publiques.